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La principale idĂ©e Ă  retenir de la longue introduction me semble donc ĂȘtre la suivante l’Homme est nĂ©, il y a 400 000 ans, et cela constituait la nouvelle Ă©tape d’un dĂ©veloppement dont le plan d’ensemble nous reste inconnu. L’élĂ©ment important est que, un trĂšs long temps s’étant Ă©coulĂ©, une nouvelle Ă©tape est dĂ©sormais envisageable. Cette impression de temps qui passe est d’ailleurs trĂšs marquĂ©e car de nombreux indicateurs temporels sont prĂ©sents tout au long du film. C’est le cas dĂšs le titre, 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, 2001 Ă©tant une date trĂšs symbolique – surtout en 1968 – qui sonne comme un nouveau dĂ©part – et ne reprĂ©sente pas, comme 2000, une fin. Figurent Ă©galement au dĂ©but de chaque partie du film des indications temporelles Ă©crites L’aube de l’humanitĂ© ; 400000 ans aprĂšs ; 18 mois aprĂšs ; et au-delĂ  de l’infini[2]. De plus, dans les dialogues entre la Terre et vaisseaux spatiaux dans lesquels par, deux fois, on assiste Ă  des fĂȘtes d’anniversaire – d’abord celui de la fille Vivian Kubrick du professeur Floyd William Sylvester puis celui de Frank Poole Gary Lockwood. Enfin, dans la derniĂšre partie, Dave Bowman, avant sa transformation, se voit vieillir. 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, peut ainsi se voir – Ă  partir de la seconde partie – comme l’histoire de la gestation qui va prendre dix-huit mois soit le double des neuf mois nĂ©cessaires Ă  la naissance d’un nouvel ĂȘtre humain de ce nouvel ĂȘtre, créé, avec le concours du monolithe, Ă  partir de l’Homme[3]. Ce sentiment est renforcĂ© tant par la premiĂšre sĂ©quence de la seconde partie qui, autour de la valse des vaisseaux spatiaux sur Le beau Danube bleu de Johann Strauss, figure nettement une fĂ©condation que par l’image finale qui montre un immense fƓtus. L’élĂ©ment dĂ©routant vient du fait que Stanley Kubrick ne cherche pas du tout Ă  caractĂ©riser la seconde transformation – bien que l’on comprenne que le nouvel Homme ne sera plus liĂ© ou soumis Ă  la Terre – au contraire de la premiĂšre oĂč chacun comprenait que ce qui transformait l’Homme en singe Ă©tait l’apprentissage – ou l’incrĂ©mentation – de la violence. Je pense toutefois qu’introduire cette idĂ©e de la violence dans la premiĂšre partie ne cherche pas tant Ă  montrer ce qu’est l’Homme[4] mais plutĂŽt que c’est l’Homme qui a Ă©tĂ© créé aprĂšs la premiĂšre intervention du monolithe. On sait donc – du point de vue de la narration – que le monolithe, par une action dont la nature nous reste inconnue[5], peut permettre de tels changements. Si on accepte ce point de dĂ©part, les difficultĂ©s d’interprĂ©tation du film ne rĂ©sident pas – comme on le dit souvent – dans sa seule fin mais dans la globalitĂ© de l’Ɠuvre qu’il faut envisager comme un tout cohĂ©rent. En effet, la conception de l’histoire de l’humanitĂ© est trĂšs Ă©loignĂ©e de nos schĂ©mas de pensĂ©e classiques. Le film de Stanley Kubrick est en rupture tant avec les pensĂ©es monothĂ©istes dans lesquelles l’Homme est une crĂ©ature directement liĂ©e Ă  Dieu donc quasi-parfaite et qu’il ne saurait ĂȘtre question de modifier qu’avec les thĂ©ories Ă©volutionnistes pour lesquelles un changement brusque n’est pas envisageable. Par contre, il fait explicitement rĂ©fĂ©rence au philosophe allemand Friedrich Nietzsche 1844-1900 aux deux moments oĂč le monolithe agit. Dans chacune de ces deux occasions retentit l’ouverture du Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss 1864-1949. Or, ce poĂšme symphonique, datant de 1896, a Ă©tĂ© composĂ© en hommage au livre Ă©ponyme de Friedrich Nietzsche [6]datĂ© de 1883-1885. Pour ce dernier, la reprĂ©sentation du temps est tout-Ă -fait conforme Ă  ce qu’elle est dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace. Ce film, en fait, reprend le concept de l’Eternel retour dans lequel le temps est conçu comme une succession de cycles sĂ©lectifs[7]. Ainsi correspond Ă  chaque fin de cycle une rupture provoquĂ©e amenant Ă  un ĂȘtre plus puissant. Cet Ă©lĂ©ment de volontĂ©[8] est prĂ©sent dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace puisque les hommes en gĂ©nĂ©ral – et Dave Bowman Keir Dullea en particulier – cherchent Ă  repousser leurs limites en dominant l’espace malgrĂ© leur inadaptation naturelle Ă  celui-ci. Friedrich Nietzsche Un autre concept nietzschĂ©en est transposable Ă  2001, l’odyssĂ©e de l’espace celui du Surhomme. Il s’agit ici de ce en quoi se transforme l’Homme Ă  la fin du cycle lui correspondant c’est-Ă -dire, dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, le fƓtus gĂ©ant qui succĂšde Ă  Dave Bowman. Si, contrairement Ă  celui annoncĂ© par Zarathoustra, le Surhomme kubrickien n’est pas liĂ© Ă  une culture immensĂ©ment dĂ©veloppĂ©e, il s’agit bien, comme chez Friedrich Nietzsche, d’une rupture franche avec l’Homme et non d’un homme ayant dĂ©veloppĂ© au maximum ses capacitĂ©s. D’ailleurs, le film montre, par opposition au Surhomme, l’échec de l’Homme optimal, d’une certaine maniĂšre figurĂ© par le super-ordinateur HAL[9]. Enfin, un autre rapport, d’approche celui-ci, existe entre les Ɠuvres de Friedrich Nietzsche et de Stanley Kubrick. Le philosophe allemand avait ainsi sous-titrĂ© Ainsi parlait Zarathoustra, un livre pour tous et pour personne. Or la volontĂ© de Kubrick d’avoir rĂ©alisĂ©, avec 2001, l’odyssĂ©e de l’espace, un film destinĂ© au plus grand nombre mais qui garde sa part de mystĂšre semble Ă©vidente. On pourrait tout-Ă -fait le sous-titrer, un film pour tous et pour personne
 Appendice 2001, l’odyssĂ©e de l’espace et Orange mĂ©canique, tournĂ©s Ă  trois ans d’intervalle, sont deux films unis par une sorte de gĂ©mellitĂ©. Il y a bien sĂ»r ces thĂšmes communs Ă  l’ensemble de l’Ɠuvre de Stanley Kubrick comme la violence constitutive de la nature humaine ou l’échec du programme parfait HAL, Ludovico. De mĂȘme, l’utilisation de la musique classique pour accompagner, voire souligner, la narration existe dans les deux films. Enfin, ces deux Ɠuvres sont, l’une et l’autre, divisĂ©es en blocs faisant apparaĂźtre clairement les diffĂ©rentes parties du film. Au-delĂ  de ces Ă©lĂ©ments – qui ne sont donc pas propres Ă  ces deux seuls films dans l’Ɠuvre de Kubrick – on peut Ă©galement remarquer que ces deux films sont explicitement liĂ©s par deux points prĂ©cis. Tout d’abord – mais s’il n’y avait que cela, on n’irait guĂšre au-delĂ  de l’autocitation –, dans Orange mĂ©canique, Alex Malcolm McDowell croise, lors de son passage dans un magasin de musique, la bande originale de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace. Ensuite, et plus profondĂ©ment, le regard face-camĂ©ra d’Alex qui ouvre Orange mĂ©canique semble rĂ©pondre Ă  celui du fƓtus humain qui ferme 2001, l’odyssĂ©e de l’espace. On peut toutefois aller encore plus loin dans le rapprochement entre les deux films. En effet, la sĂ©quence d’ouverture de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace offre, comme nous l’avons plus haut, deux Ă©lĂ©ments au spectateur. D’une part, l’Homme est caractĂ©risĂ© en tant qu’Homme par l’incrĂ©mentation de la violence. D’autre part, l’évolution se fait par ces ruptures successives que sont les interventions du monolithe. On l’a vu, le second point est dĂ©veloppĂ© dans la suite du film. Mais, d’une certaine façon, le premier l’est, lui, dans Orange mĂ©canique oĂč l’on voit l’Homme arrivĂ© au bout de son Ă©volution – dont Alex semble alors l’archĂ©type – ayant dĂ©veloppĂ© tout son potentiel de violence dans une Ă©poque qui se situe dans un futur proche – donc aux alentours de 2001. Ainsi, on peut considĂ©rer que l’introduction de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace pourrait Ă©galement ĂȘtre celle d’Orange mĂ©canique. Or, le concept nietzschĂ©en d’Eternel retour permet de concilier la temporalitĂ© avec la succession de cycles du temps et l’éternitĂ© Ă  l’intĂ©rieur d’un mĂȘme cycle. Ainsi, 2001, l’odyssĂ©e de l’espace et Orange mĂ©canique peuvent apparaĂźtre comme les deux faces d’une seule et mĂȘme piĂšce ce que, pour finir, l’on pourrait rĂ©sumer par le tableau synthĂ©tique suivant 2001, l’odyssĂ©e de l’espace Orange mĂ©canique TemporalitĂ© EternitĂ© Abondance d’indicateurs temporels Absence d’indicateurs temporels on est vers 2001 VolontĂ© de dĂ©passement ou de puissance incarnĂ©e par Dave Bowman Stagnation dans l’état Homme violence incarnĂ©e par Alex Malcolm Mc Dowell dans Orange MĂ©canique Ran [1] Ainsi Alex peut, dans ce film, apparaĂźtre comme l’archĂ©type de l’homme dont les singes de 2001, l’odyssĂ©e de l’espace n’étaient que les prototypes. Par ailleurs, l’idĂ©e que la violence est constitutive de la nature humaine est rĂ©currente chez Stanley Kubrick. J’y reviens largement dans mon texte sur Full metal jacket 1987. [2] On voit ici qu’indicateurs temporels et spatiaux – tout aussi prĂ©sents dans 2001 – finissent par se rejoindre. [3] Comme l’Homme avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment créé Ă  partir du singe. [4] Pour Stanley Kubrick, rĂ©pĂ©tons-le, la violence est constitutive de la nature humaine. [5] Chacun est libre d’imaginer ce qu’il veut concernant le monolithe. On peut y voir Dieu – avec un indice absolu de transcendance – jusqu’à un simple objet envoyĂ© par une espĂšce extraterrestre. C’est en tout cas – et on n’est pas loin de rejoindre l’idĂ©e hitchcockienne du macguffin – un efficace biais narratif. [6] Remarquons que, dans Ecce Homo 1888, Nietzsche dit que la gestation de son Ainsi parlait Zarathoustra lui a pris dix-huit mois il se compare alors Ă  un Ă©lĂ©phant femelle » soit le mĂȘme temps que celui de la crĂ©ation du nouvel Homme dans 2001, L’OdyssĂ©e de l’espace. [7]Cette thĂ©orie concilie donc temporalitĂ© et Ă©ternitĂ©. [8] Le mot odyssĂ©e », prĂ©sent dans le titre, renvoie lui-mĂȘme Ă  cette idĂ©e de quĂȘte, Ă  la fois rĂ©elle et spirituelle, avec – pour finir – un retour au point de dĂ©part. [9] On remarquera d’ailleurs que l’échec pratique de programmes thĂ©oriquement parfaits – les programmes de dĂ©fense nuclĂ©aire amĂ©ricain et soviĂ©tique dans Docteur Folamour 1964 ; HAL dans 2001, l’odyssĂ©e de l’espace ; le programme Ludovico dans Orange mĂ©canique ; l’entraĂźnement des marines dans Full metal jacket – est une constante des films de Stanley Kubrick. LesFilms de Stanley Kubrick: Affiches CinĂ©ma, Bandes Annonces, Photos de film, Dossiers de Presse, Plv. Resultat de votre Recherche des Films de Stanley Kubrick. Genre: 2001 : L'odyssĂ©e de l'espace / 2001 : A SPACE ODYSSEY . Stanley Kubrick Affiche PliĂ©e format 53x40 prix : 12.00 € Etat : A. Fantastique / Science Fiction: 2001 l'odyssĂ©e de l'espace / ï»żFilmsAffiche de FilmCréé par Nick Barclay
AccueilFilms 2001 : L’ODYSSÉE DE L’ESPACE. SAGA STANLEY KUBRICK proposĂ©e par votre cinĂ©ma la Grange. Science fiction. Date de reprise 13 juin 2018. De Stanley Kubrick. Par Arthur C. Clarke, Stanley Kubrick. Avec Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester. A l’aube de l’HumanitĂ©, dans le dĂ©sert africain, une tribu de primates subit les assauts
"2001 l'odyssĂ©e de l'espace" est une Ɠuvre culte de Stanley Kubrick sortie au cinĂ©ma le 27 septembre 1968 et ayant inspirĂ© de nombreux longs mĂ©trages depuis. Un film de science-fiction pour enfants de 10 ans et l'aube de l'HumanitĂ©, dans le dĂ©sert africain, une tribu de primates subit les assauts rĂ©pĂ©tĂ©s d'une bande rivale, qui lui dispute un point d' dĂ©couverte d'un monolithe noir inspire au chef des singes assiĂ©gĂ©s un geste inĂ©dit et un os, il passe Ă  l'attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est 2001, quatre millions d'annĂ©es plus tard, un vaisseau spatial Ă©volue en orbite lunaire au rythme langoureux du "Beau Danube Bleu". À son bord, le Dr. Heywood Floyd enquĂȘte secrĂštement sur la dĂ©couverte d'un monolithe noir qui Ă©met d'Ă©tranges signaux vers mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter Ă  bord du deux hommes vaquent sereinement Ă  leurs tĂąches quotidiennes sous le contrĂŽle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel douĂ© d'intelligence et de HAL, sans doute plus humain que ses maĂźtres, commence Ă  donner des signes d'inquiĂ©tude Ă  quoi rime cette mission et que risque-t-on de dĂ©couvrir sur Jupiter ? Article créé par Charlotte Loisy le 18 dĂ©c. 2020 Lesmeilleures offres pour LA FORME DE L'EAU Rare Affiche de film Prev. 40x54 cm - 2017 - Guillermo Del Tor sont sur eBay Comparez les prix et les spĂ©cificitĂ©s des produits neufs et d 'occasion Pleins d 'articles en livraison gratuite!
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Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisUn film expĂ©rimental Ă  trĂšs gros budgetLa forme du film – un enchaĂźnement de sections presque autonomes oĂč les personnages se renouvellent –, les nombreuses ellipses ou phĂ©nomĂšnes visuels et sonores non expliquĂ©s, la sĂ©quence presque abstraite du voyage au-delĂ  de l'infini » ; tout manifeste le dĂ©sir du rĂ©alisateur de rĂ©inventer un cinĂ©ma pur oĂč musique, formes visuelles, mouvements, proposent des associations sans les expliquer, mettant le spectateur dans la mĂȘme situation que ses personnages – singes ou humains – face Ă  l' film est plus ancrĂ© dans son Ă©poque qu'il n'y paraĂźt obsession paranoĂŻaque de la surveillance les Russes et les AmĂ©ricains – puisque l'Ɠuvre postule un monde toujours bipolarisĂ© – continuent d'avoir des relations polies et suspicieuses, division du territoire spatial en deux zones d'influence, goĂ»t d'un cinĂ©ma froid et laconique. Par ailleurs, le voyage de Dave vers Jupiter reflĂšte l'attrait des annĂ©es 1960 pour les morceaux de bravoure op art. De mĂȘme, la lenteur rituelle de certaines actions accomplies en silence est typique du cinĂ©ma de l'Ă©poque, comme le dĂ©but d'Il Ă©tait une fois dans l'Ouest Once upon a Time in West, 1968, de Sergio monolithe noir est le seul personnage » qui unit les quatre parties du film or, semblable Ă  un miroir opaque qui absorbe la lumiĂšre et ne renvoie rien, ce monolithe est muet, inexpliquĂ©. À l'autre extrĂȘme, dans la partie la plus classiquement dramatique du film, Ă  bord du Discovery, c'est un ordinateur programmĂ© pour exprimer des Ă©motions qui invoque sa peur et nous touche de maniĂšre dĂ©chirante lorsqu'il supplie Dave de ne pas le dĂ©connecter. A contrario, les personnages humains du film sont volontairement inexpressifs, lisses, fades on les voit manger, dormir, dotĂ©s d'une famille, et une scĂšne Ă©voque mĂȘme le problĂšme des besoins naturels » en apesanteur. Seule, la sexualitĂ© est Ă©ludĂ©e et les personnages fĂ©minins trĂšs la premiĂšre fois, une musique classique, la valse du Beau Danube bleu, se trouvait associĂ©e Ă  un monde futuriste. Ce choix paradoxal frappa par son Ă©vidence et son efficacitĂ© et permit, comme au temps du cinĂ©ma muet, de structurer une frĂ©quemment classĂ©e dans les palmarĂšs du cinĂ©ma, 2001 servira de rĂ©fĂ©rence pour beaucoup de films ultĂ©rieurs, aussi bien pour ceux qui voudront en prendre le contre-pied et Ă©voquer un monde du futur sale et dĂ©glinguĂ© alors que celui de 2001 est propre et fonctionnel, que pour ceux qui voudront rivaliser avec sa symphonie de lumiĂšres, comme par exemple Rencontres du troisiĂšme type Close Encounters of the Third Kind, 1977, de Steven Spielberg, ou The Abyss, 1989, de James 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 3 pagesÉcrit par Ă©crivain, compositeur, rĂ©alisateur, maĂźtre de confĂ©rences Ă©mĂ©rite Ă  l'universitĂ© de Paris-IIIClassificationArtsCinĂ©maGenres cinĂ©matographiquesFilms de science-fictionArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainAutres rĂ©fĂ©rences 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE, Stanley Kubrick » est Ă©galement traitĂ© dans 2001, L'ODYSSÉE DE L'ESPACE S. KubrickÉcrit par JoĂ«l MAGNY ‱ 218 mots ‱ 1 mĂ©diaLe cinĂ©ma de science-fiction a beaucoup perdu de sa vigueur et de sa vitalitĂ©, lorsque Stanley Kubrick 1928-1999 se lance dans l'aventure de 2001 a Space Odyssey, dont le succĂšs va redonner au genre une nouvelle vie pour plusieurs dĂ©cennies. Selon Jacques Goimard, il s'agit du [
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2001: L'odyssée de l'espace Affiche originale Stanley Kubrick 1968 38x59 CM. Particulier Particulier Particulier. 80,00 EUR + 12,50 EUR livraison + 12,50 EUR livraison + 12,50 EUR livraison. VIRAGES Affiche originale du film de 1969 Paul Newman James Goldstone 60X80 CM. Particulier Particulier Particulier. 80,00 EUR + 12,50 EUR livraison + 12,50 EUR
Oui, des fois Ar’Kady votre guide cinĂ©matographique a des fixettes Ă©tranges. AprĂšs avoir traversĂ© une pĂ©riode films de guerre », puis une de films de pompiers », me voilĂ  donc dans une pĂ©riode films dans l’espace ». Alors quitte Ă  les enchaĂźner, autant partager avec vous ce petit top de mes films prĂ©fĂ©rĂ©s se passant dans l’espace. Nota 1 je ne fais pas de classement particulier entre ces films certains Ă©tant trĂšs difficiles Ă  comparer. Je vous les prĂ©sente juste du plus ancien au plus rĂ©cent ! Nota 2 je ne prends en compte pour ce classement que des films de style huis-clos » avec peu de personnages et dont l’essentiel de l’action se passe dans l’espace et/ou la survie dans l’espace est un enjeu important. Ne sont donc pas pris en compte les saga SF type Star Trek, Gardiens de la Galaxie ou Star Wars. Ni les films du type ValĂ©rian, Avatar
 qui se passent certes dans l’espace mais oĂč celui-ci n’est pas une forme d’enjeu Ă  proprement parler. /!\ SPOILERS Ă©ventuels, si vous n’avez pas vu le film citĂ©, n’hĂ©sitez pas Ă  passer au suivant. Vous ĂȘtes prĂȘts ? Alors montez avec moi dans ce vaisseau spatial et allons explorer les Ă©toiles ! 2001 l’odyssĂ©e de l’espace, de Stanley Kubrick 1968 Affiche du film 2001 l’OdyssĂ©e de l’Espace En 2001, un vaisseau spatial Ă©volue en orbite lunaire. À son bord, le Dr. Heywood Floyd enquĂȘte secrĂštement sur la dĂ©couverte d’un monolithe noir qui Ă©met d’étranges signaux vers Jupiter. Dix-huit mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter Ă  bord du Discovery. Les deux hommes vaquent sereinement Ă  leurs tĂąches quotidiennes sous le contrĂŽle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel douĂ© d’intelligence et de parole. Cependant, HAL, sans doute plus humain que ses maĂźtres, commence Ă  donner des signes d’inquiĂ©tude Ă  quoi rime cette mission et que risque-t-on de dĂ©couvrir sur Jupiter ? L’incontournable du genre. Peut-ĂȘtre mĂȘme l’un des rĂ©els premiers films de science-fiction. Il aura marquĂ© et continuera de marquer des gĂ©nĂ©rations, laissant le public parfois dubitatif, mais aussi clairement admiratif. Le film a de nombreux atouts une rĂ©alisation hors-norme, une bande-sonore et une ambiance qui apportent cette tension qui ne rend pas indiffĂ©rent, un rythme parfois trop lent, une sĂ©quence d’anthologie entre Dave et Hal. » Mais pĂȘche aussi de par son manque de comprĂ©hension. Personne ne peut dire aprĂšs le premier visionnage avoir tout compris du film. Et pourtant il s’est hissĂ© sans mal en tĂȘte des meilleurs films de son Ă©poque et le reste encore aujourd’hui. Un immanquable donc. Qu’il Ă©tait impossible de ne pas mettre dans ce top. Alien – le 8Ăšme passager, de Ridley Scott 1979 Affiche du film Alien le huitiĂšme passager À bord du Nostromo, cargo spatial en mission commerciale de routine, l’équipage est plongĂ© dans un profond sommeil. Mais ils sont tirĂ©s de leur hibernation par l’ordinateur de bord. Celui-ci a en effet captĂ© des signaux radio inconnus dans l’espace. Or l’équipage du vaisseau s’avĂšre tenu de vĂ©rifier tout indice de vie extraterrestre. Au cours de cette vĂ©rification, tout tourne au cauchemar, l’officier Kane se fait attaquer par une forme de vie inconnue et son retour sur le vaisseau signe la contamination de celui-ci par une forme de vie mortelle. Commence alors un macabre jeu du chat et de la souris entre l’équipage et l' »Alien ». Classique parmi les classiques, le premier opus de la saga Alien qui compte 6 films et deux cross-over avec la saga Predator est un incontournable du genre. Huis-clos haletant et terrifiant, la course poursuite entre l’équipage qui tente de sauver sa peau et l’Alien qui veut les dĂ©truire en aura marquĂ© plus d’un. D’autant que Ridley Scott sait jouer comme personne avec le suspense. Et l’Alien, bien que craint de long en large durant le film, n’est finalement pas le personnage le plus vu Ă  l’écran. Au final, Alien est un classique, entre le film d’action, le film d’horreur et le film de SF. À voir Ă  tout prix ! Apollo 13, de Ron Howard 1995 Affiche du film Apollo 13 Houston, nous avons un problĂšme », c’est la phrase qui, le 13 avril 1970 a 21h07, fit sursauter les hommes qui surveillaient un vol de routine du vaisseau Apollo 13 » depuis la salle de contrĂŽle de la NASA. Un des rĂ©servoirs d’oxygĂšne venait d’exploser Ă  la 55e heure du vol et Ă  205 000 miles de la Terre. InspirĂ© du’un histoire vraie, Ron Howard offre ici un excellent film hommage aux membres de la mission Apollo 13. Si le film souffre de quelques longueurs, le casting, le rĂ©alisme et les images de l’espace permettent conserver le spectateur au cƓur de l’intrigue. On craint avec l’équipage qu’ils ne reviennent pas. On vit avec eux les diffĂ©rents tests pour rĂ©gler les problĂšmes. Et on tremble avec eux du possible Ă©chec. Bref, le film nous tiens assez bien en haleine pour au final oublier les longueurs et les dialogues parfois un peu convenu. Il reste en outre l’un des classiques parmi les films marrant la grande Ă©popĂ©e de l’Espace. Perdus dans l’espace, de Stephen Hopkins 1998 Affiche du film Perdus dans l’Espace 2050, Ă©puisĂ©e sous l’action combinĂ©e de l’effet de serre et de la pollution, la planĂšte Terre est Ă  bout de course. Il ne reste qu’un seul espoir Ă  l’humanitĂ© coloniser Alpah Prime, la planĂšte habitable la plus proche du systĂšme solaire, Ă  dix annĂ©es-lumiĂšre. John Robinson, Ă©minent scientifique est dĂ©signĂ© pour mener Ă  bien une mission de reconnaissance. Il dĂ©cide alors d’emmener avec lui toute sa famille. Il ignore nĂ©anmoins que le docteur Zachary Smith, Ă  la solde de la rĂ©bellion, s’est introduit dans leur vaisseau spatial. Si les effets spĂ©ciaux n’ont pas forcĂ©ment bien vieillit, l’idĂ©e de dĂ©part de ce film s’avĂšre toujours bien ficelĂ©e. Si bien que Netflix en a fait un remake en sĂ©rie en 2018. PlutĂŽt dĂ©criĂ© par la critique Ă  cause de quelques incohĂ©rences scientifiques mais quel film de science-fiction ne prĂ©sente pas d’incohĂ©rences ? ou d’un ton trop lĂ©ger, il n’en reste pas moins un bon film familial, pas prise de tĂȘte, avec de l’humour et de l’action. Bref, Ă  regarder quand on ne veut pas se prendre la tĂȘte ni trop stresser. Moon, de Duncan Jones 2010 Affiche du film Moon Sam Bell vit depuis plus de trois ans dans la station lunaire de Selene. LĂ -bas il gĂšre l’extraction de l’hĂ©lium 3, seule solution Ă  la crise de l’énergie sur Terre. Il souffre en silence de son isolement et de la distance le sĂ©parant de sa femme et de sa fille. Mais quelques semaines avant la fin de son contrat pour l’entreprise Lunar, Sam se met Ă  voir et Ă  entendre des choses Ă©tranges
 D’abord convaincu que son isolement y est pour quelque chose, il se retrouve malgrĂ© tout Ă  enquĂȘter. Ce qu’il va dĂ©couvrir va bouleverser tout ce qu’il pensait savoir
 Sam Rockwell porte le film sur ses Ă©paules, littĂ©ralement vu qu’il est le seul acteur visible de tout le film. Moon est un thriller palpitant qui mĂȘme si il manque un peu d’action parfois fera naĂźtre de nombreuses questions pour le spectateur. Le film sort des sentiers battus et ose ce qui n’avait encore jamais Ă©tĂ© fait. Plus psychologique que d’action, il bĂ©nĂ©ficie tout de mĂȘme d’une superbe ambiance, d’images spectaculaires et d’une musique qui colle parfaitement aux situations. S’il n’est Ă  ce jour pas rentrĂ© dans les classiques de SF il mĂ©rite parfaitement sa place dans cette liste. AprĂšs tout, il est sans doute celui qui colle le mieux Ă  la dĂ©finition de huis-clos dans l’espace. Apollo 18, de Gonzalo Lopez-Gallego 2011 Affiche du film Apollo 18 Officiellement, Apollo 17 fut le dernier voyage sur la lune organisĂ© par la Nasa en 1972. La mission Apollo 18, annulĂ©e pour des raisons budgĂ©taires », a en fait eu lieu secrĂštement l’annĂ©e suivante. Les images qui en furent rapportĂ©es, et qui ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es, rĂ©vĂšlent une rĂ©alitĂ© que la NASA essaie de nous cacher depuis 40 ans
 C’est pour ça qu’aucun autre astronaute n’y est retournĂ© depuis cette Ă©poque. Thriller angoissant Ă  souhait et Ă  la limite de l’épouvante Apollo 18 est tournĂ© comme un documentaire prĂ©sentant de rĂ©elles images filmĂ©es durant cette mission top secrĂšte et dont les vidĂ©os retrouvĂ©es quelques temps plus tard, auraient ainsi servi Ă  l’élaboration du film. Celui-ci s’avĂšre ĂȘtre un excellent film avec une ambiance unique glaçante, angoissante, percutante et trĂšs prenante. ParticuliĂšrement descendu par la critique spectateur pour n’ĂȘtre qu’une version dans l’espace d’un Paranormal Activity, je trouve d’un point de vue personnel que ce film mĂ©rite au moins d’ĂȘtre vu une fois, ne serait-ce parce qu’il apporte une ambiance anxiogĂšne créée par la solitude et l’éloignement qui saura vous faire frissonner et angoisser. Et pourtant, je ne suis pas une grande fan des films d’épouvante. Gravity, de Alfonso CuarĂłn 2013 Affiche du film Gravity Pour sa premiĂšre expĂ©dition Ă  bord d’une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingĂ©nierie mĂ©dicale, accompagne l’astronaute chevronnĂ© Matt Kowalsky. Mais alors qu’il s’agit apparemment d’une banale sortie dans l’espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvĂ©risĂ©e, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes dans l’univers. Le silence assourdissant autour d’eux leur indique qu’ils ont perdu tout contact avec la Terre – et la moindre chance d’ĂȘtre sauvĂ©s
 Pourtant, ils refusent de baisser les bras, quitte Ă  s’enfoncer encore plus loin dans l’espace sombre et insondable. J’ai eu l’occasion de voir ce film en salle et en 3D. Et pour une fois, la 3D en rajoute vraiment, au point de nous donner le vertige. Il ne faut pas non plus ĂȘtre claustrophobe pour voir ce films tant l’angoisse de Sandra Bullock, coincĂ©e dans son scaphandre et incapable de contacter la Terre se transmet au spectateur qui tremble avec elle. En outre, Gravity offre rĂ©ellement des images Ă  couper le souffle, accompagnĂ©e d’une musique discrĂšte mais suffisante pour mettre l’ambiance. Un film Ă  conseiller pour tous ceux voulant affronter l’insondable espace et le vide qui s’en dĂ©gage. Interstellar, de Christopher Nolan 2014 Affiche du film Interstellar Dans un futur proche, la Terre est devenue de moins en moins accueillante pour l’humanitĂ© plongĂ©e dans une grave crise alimentaire. Cooper, ancien pilote de la NASA devenu agriculteur, vit dans une ferme avec sa famille. Sa fille Murphy, ĂągĂ©e de dix ans, croit leur maison hantĂ©e par un fantĂŽme voulant communiquer avec elle. En suivant les indications du fantĂŽme » Cooper dĂ©couvre de vieilles installations de la NASA et une Ă©quipe qui s’apprĂȘte Ă  aller explorer un trou de ver prĂšs de Saturne. Le but de la NASA et de cette mission est de sauver l’humanitĂ© en trouvant une autre planĂšte habitable. Ce trou de ver serait le moyen d’atteindre relativement rapidement, sans voyages intersidĂ©raux de plusieurs millĂ©naires, de nouvelles planĂštes dans une autre galaxie. Cooper accepte la mission et s’embarque pour ce pĂ©rilleux voyage. Visuellement le film est magnifique. ScĂ©naristiquement il s’agit d’un des chefs d’Ɠuvre de Nolan. Malheureusement pour moi, comme beaucoup de Nolan Inception, Shutter Island, Memento, j’ai du mal Ă  suivre toute l’histoire. Le film n’en reste pas moins le chef d’Ɠuvre de son Ă©poque encensĂ© par la critique et les spectateurs. Mais un peu Ă  l’image de son prĂ©curseur 2001 l’OdyssĂ©e de l’espace », nombreux sont ceux ressortis de la projection avec une foule de questions. En effet, si le dĂ©but du film et la problĂ©matique globale s’avĂšrent assez aisĂ© Ă  suivre, le dĂ©nouement reste obscur, sans doute Ă  la libre interprĂ©tation de chacun, comme sait si bien le faire Nolan. Pour autant, ce film n’est pas Ă  bouder, bien au contraire. Vous n’en ressortirez pas indemne, c’est tout ! Seul sur Mars, de Ridley Scott 2015 Affiche du film Seul sur Mars Lors d’une expĂ©dition sur Mars, l’astronaute Mark Watney est laissĂ© pour mort par ses coĂ©quipiers, une tempĂȘte les ayant obligĂ©s Ă  dĂ©coller en urgence. Mais Mark a survĂ©cu et il est dĂ©sormais seul, sans moyen de repartir, sur une planĂšte hostile. Il va devoir faire appel Ă  son intelligence et son ingĂ©niositĂ© pour tenter de survivre et trouver un moyen de contacter la Terre. À 225 millions de kilomĂštres, la NASA et des scientifiques du monde entier travaillent sans relĂąche pour le sauver. Pendant ce temps ses coĂ©quipiers tentent d’organiser une mission pour le rĂ©cupĂ©rer au pĂ©ril de leurs vies. PassĂ© le cotĂ© dramatique de la situation, et mĂȘme si le film envoi du lourd cotĂ© image et casting, il souffre tout de mĂȘme d’un point nĂ©gatif assez important aucune angoisse. PassĂ© la constatation de son abandon, Matt Damon devient le petit gĂ©nie qui trouve rĂ©ponse Ă  tout. Qui n’abandonne jamais et se paye mĂȘme le luxe d’ĂȘtre arrogant. Ce qui sort un peu le spectateur de son empathie envers lui. En effet difficile de craindre pour sa vie lorsqu’on le voit rĂ©soudre les problĂšmes les uns aprĂšs les autres Ă  vitesse grand V. Le film offre quand mĂȘme une touche d’humour, quelques clins d’Ɠil ici et lĂ  Ă  la pop culture et une ambiance musicale pour le moins
 dĂ©concertante. À voir, au moins une fois, parce que c’est un Ridley Scott aprĂšs tout ! Passengers, de Morten Tyldum 2016 Affiche du film Passengers L’ Avalon », fait route vers une lointaine planĂšte colonisĂ©e. À son bord, plus de 5 000 passagers sont en sommeil dans des capsules d’hibernation, pour ce voyage d’une durĂ©e de 120 ans. Mais, l’une de ces capsules connaĂźt un problĂšme et rĂ©veille son occupant, Jim Preston, 90 ans trop tĂŽt. TrĂšs vite, il dĂ©couvre qu’il n’y a aucun autre passager Ă©veillĂ© Ă  bord. Et il ne peut retourner dans sa capsule, ni rĂ©veiller l’équipage. AprĂšs des mois de dĂ©sƓuvrement Ă  bord du vaisseau, il dĂ©couvre alors que celui-ci court un grave danger. La vie des milliers de passagers est dĂ©sormais entre ses mains
 Jennifer Lawrence et Christ Pratt offrent une trĂšs belle prestation dans ce film et leur duo fonctionne Ă  merveille. De dĂ©couvertes en rebondissements, le film maintient le spectateur en alerte du dĂ©but Ă  la fin. Et si le scĂ©nario de celui-ci est somme toute assez banal, l’ambiance et les dĂ©cors ahurissants cassent la monotonie. Bref, un film familial et plein de surprise qui vaut le coup d’Ɠil. Bonus. Quelques films qui tournent autour de l’Espace, sans ĂȘtre rĂ©ellement des films de science-fiction ou des huis-clos. Mais qui font tout de mĂȘme partis des films qui m’ont marquĂ©e. Armageddon, de Michael Bay 1998 Affiche du film Armageddon Pas vraiment un huis-clos puisqu’une grande partie du film se passe sur Terre comme pour Apollo 13 ou Seul sur Mars. Mais avec un enjeu autour de l’espace puisqu’un astĂ©roĂŻde meurtrier fonce droit sur la Terre. Et seule une petite Ă©quipe de foreurs menĂ©e par Bruce Willis et Ben Affleck peut faire quelque chose. Plus film d’action que film de science-fiction, celui-ci n’en reste pas moins un des incontournables du genre pour qui aime Michael Bay. Toute l’intrigue tourne quand mĂȘme autour de l’espace et de la destruction de cet astĂ©roĂŻde qui vient anĂ©antir l’espĂšce humaine. Les Figures de l’Ombre, de Theodore Melfi 2016 Affiche du film Les Figures de l’Ombre Pas d’images d’espace dans le film. Son sujet principal est la NASA et la course Ă  la Lune du temps de la Guerre Froide. Les personnages principaux sont des femmes, ces fameuses figures de l’ombre ». À l’époque des dĂ©buts de l’ordinateur, il fallait bien quelqu’un pour calculer Ă  la main toutes les trajectoires des fusĂ©es et autres calculs indispensables pour envoyer une Ă©quipe dans l’espace. InspirĂ© de l’histoire vraie des trois plus cĂ©lĂšbres calculatrices de la NASA, le film raconte autant l’histoire de cette course Ă  la Lune face Ă  l’URSS et que le combat de ces femmes noires pour se faire reconnaĂźtre et gagner leur place dans la grande institution qui les embauche. À conseiller pour tous ceux intĂ©ressĂ©s par l’envers du dĂ©cors ». First-Man – Le premier homme sur la Lune, de Damien Chazelle 2018 Affiche du film First Man, le premier Homme sur la Lune Le film retrace la vie de Neil Armstrong, de ses dĂ©buts Ă  la NASA jusqu’à son premier pas sur la Lune. Plus documentaire que rĂ©el film de science-fiction et encore moins huis-clos, il permet nĂ©anmoins de comprendre tout le chemin parcouru pour arriver Ă  rĂ©aliser un tel exploit. Et pour apprendre Ă  connaitre l’homme derriĂšre la LĂ©gende. Un film intĂ©ressant Ă  voir qui permet de recontextualiser toute la vie d’Armstrong et d’en dĂ©couvrir plus. LĂ  encore un film Ă  conseiller pour voir l’envers du dĂ©cors ». Et dĂ©couvrir tout ce qu’on ne sait pas sur la NASA et ces hĂ©ros de l’espace. Et vous ? Quels sont vos films dans l’espace prĂ©fĂ©rĂ©s ? N’hĂ©sitez pas Ă  voter au sondage ou Ă  laisser un commentaire pour nous le dire.
29avr. 2021 - affiche alternative du film "2001, l'OdyssĂ©e de l'espace (2001: A Space Odyssey)" / Stanley Kubrick / Keir Dullea / Gary Lockwood. 29 avr. 2021 - affiche alternative du film "2001, l'OdyssĂ©e de l'espace (2001: A Space Odyssey)" / Stanley Kubrick / Keir Dullea / Gary Lockwood. ConfidentialitĂ© . Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les rĂ©sultats Sorti en avril 1968 aux Etats-Unis, "2001 l'OdyssĂ©e de l'espace" de Stanley Kubrick a marquĂ© son temps, en Ă©voquant avec philosophie des sujets comme la conquĂȘte spatiale et l'Ă©volution de l'espĂšce humaine. Il a aussi marquĂ© un jalon pour le cinĂ©ma de science-fiction, dont il reste une LorfĂšvre et Sophie DevillersPubliĂ© le 04-04-2018 Ă  15h48 - Mis Ă  jour le 05-04-2018 Ă  10h54 ©MGMTel le monolithe noir de “2001, l’odyssĂ©e de l’espace”, l’ombre du chef-d’Ɠuvre de Stanley Kubrick, dont on commĂ©more le cinquantiĂšme anniversaire,...Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©sProfitez de notre offre du moment et accĂ©dez Ă  tous nos articles en illimitĂ©Abonnement sans engagement

2001l'odyssĂ©e de l'espace : L'originale de cette affiche comporte la mention "Cinerama". Mots-clefs . Pas de mot clef . LE FILM. Titre original . 2001: A Space Odyssey. Titre français. 2001: l'odyssĂ©e de l'espace. Titre anglais . 2001: A Space Odyssey. Genre. Adaptation de piĂšce ou roman, Fantastique, Science Fiction Anticipation. RĂ©alisĂ© par. Stanley Kubrick, ♂

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