Laprésente page Santé humaine et action sociale à Fontenay-sous-Bois sur l'Annuaire des mairies a été modifiée pour la dernière fois le jeudi 28 avril 2022 à 20:15. Si voDonnées SeLoger June 2022 Rue Prix moyen au m² Prix bas Prix haut Rue Jules Ferry 6857 € 6142 € 7335 € N'oubliez pas, le prix dépend aussi de son état ! Détail des prix de vente des appartements au m² Rue Jules Ferry Prix moyen des appartements au m² dans Rue Jules Ferry Rue Prix bas Prix moyen Prix haut Rue Jules Ferry 6123 € 6461 € 7092 € Moyenne à Roublot 2 6183 € Prix de l’immobilier aux alentours de Rue Jules Ferry Rue Prix m² moyen Plateau 5124 €/m² Hôtel de Ville 5125 €/m² Pasteur-Rousseau 6786 €/m² Parapluies 6615 €/m² Village 6827 €/m² Détail des prix de vente des maisons au m² Rue Jules Ferry Prix moyen des maisons au m² dans Rue Jules Ferry Prix bas Prix moyen Prix haut 6345 € 7090 € 7791 € Moyenne à Roublot 2 6183 € Prix de l’immobilier aux alentours de Rue Jules Ferry Rue Prix m² moyen Plateau 5775 €/m² Hôtel de Ville 5952 €/m² Pasteur-Rousseau 7365 €/m² Parapluies 7053 €/m² Village 7391 €/m² Les professionnels Rue Jules Ferry ERA -BCDS - FONTENAY SOUS BOIS Contacter l'agence L'ADRESSE IMMOGEF FONTENAY Contacter l'agence note 14 avis OSCAR Fontenay-sous-Bois Contacter l'agence Romy THEOPHILE - IAD France Contacter l'agence note 79 avis Tendances du marché immobilier dans le quartier Fontenay-sous-Bois Quelques chiffres sur le marché Fontenay-sous-Bois Rue Biens sur le marché Vendu sur 12 mois Rue Jules Ferry Les logements dans le quartier Fontenay-sous-Bois Nombre de logements 2490 Résidence principale 2374 % Résidence sécondaire 25 Les derniers biens à vendre dans le quartier Fontenay-sous-Bois Description Prix Appartement 2 pièces 40 m² Paris 17ème 420000€ Maison 5 pièces 96 m² Vindelle 215000€ Appartement 3 pièces 73 m² La Garenne-Colombes 545000€ Appartement 2 pièces m² Boulogne-Billancourt 346000€ Appartement 4 pièces 91 m² Versailles 730000€ Appartement 3 pièces 77 m² Boulogne-Billancourt 547000€ Evolution du marché immobilier de Fontenay-sous-Bois ce que les acheteurs cherchent Type de bien Appartement 68% Maison 31% Autres types de bien loft, hôtel, château, terrain... 1% Nombre de pièces Studio 9 % 2 pièces 33 % 3 pièces 27 % 4 pièces 15 % 5 pièces et + 17 % Surface minimum 100m² 14 % Voisinage Composition du foyer Célibataires 46 % Couples 21 % Familles 33 % Vie de quartier Transports 13 arrêts Education 3 établissements Quartier 5 commerces Population Total habitans 5207 Habitans par km2 19380 Superficie en km2 0 Âge moyen Age médian 39 - de 25 ans 31 % + de 25 ans 69 % Revenu moyen annuel par foyer 26496 Emploi et chômage Actifs -30 ans 4 % Actifs 56 % chercheurs d'emploi 3 %
Formationcontinue (diverse) Fontenay-sous-Bois sur l'annuaire Opendi Fontenay-sous-Bois: au total 62 inscriptions et évaluations dans la catégorie Formation continue (diverse) Fontenay-sous-Bois. Toutes les entreprises inscrites présentent un plan d'accès et un itinéraire - inscription gratuite pour les entreprises
5 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois Appartement Prix m2 moyen 7 042 € de 6 039 € à 8 011 € Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 7 511 € de 6 103 € à 9 034 € Indice de confiance 5 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 22,8 € de 18,0 € à 31,5 € Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 25,3 € de 16,2 € à 38,5 € Indice de confiance Construit en 1930, le 5 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois est un immeuble érigé sur 5 étages. Section cadastrale N° de parcelle Superficie 000AY01 0045 280 m² La station "FONTENAY-SOUS-BOIS" est la station de métro la plus proche du 5 rue Jules Ferry 686 mètres. Caractéristiques Date de construction 1930 5 étages Ascenseur Surface de la parcelle 280 m² À proximité FONTENAY-SOUS-BOIS à 686m Av. de la République, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Charles Bassée, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Dalayrac, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue de la Maison Rouge, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue des Mocards, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue du Ruisseau, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Eugène Martin, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Gambetta, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Jean-Jacques Rousseau, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Mirabeau, 94120 Fontenay-sous-Bois Consulter le prix de vente, les photos et les caractéristiques des biens vendus à proximité du 5 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En août 2022 dans le Val-de-Marne, le nombre d'acheteurs est supérieur de 16% au nombre de biens à vendre. Le marché est dynamique. Conséquences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension Immobilière ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens à vendre. L’influence de l’ITI sur les prix peut être modérée ou accentuée par l’évolution des taux d’emprunt immobilier. Quand les taux sont très bas, les prix peuvent monter malgré un ITI faible. Quand les taux sont très élevés, les prix peuvent baisser malgré un ITI élevé. 32m2 Pouvoir d’achat immobilier d’un ménage moyen résident Le prix du m2 au 5 rue Jules Ferry est à peu près égal que le prix des autres immeubles Rue Jules Ferry +0,0 %, où il est en moyenne de 7 277 €. De même, par rapport au mètre carré moyen à Fontenay-sous-Bois 6 735 €, il est un peu plus élevé +8,0 %. Le prix du m2 au 5 rue Jules Ferry est plus élevé que le prix des autres maisons à Fontenay-sous-Bois +14,1 %, où il est en moyenne de 6 584 €. Lieu Prix m² moyen 0,0 % moins cher que la rue Rue Jules Ferry 7 277 € / m² 8,0 % plus cher que le quartier Grand Quartier 01 6 735 € / m² 8,0 % plus cher que Fontenay-sous-Bois 6 735 € / m² Cette carte ne peut pas s’afficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, n’hésitez pas à télécharger un navigateur plus récent. Chrome et Firefox vous garantiront une expérience optimale sur notre site.48 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois Appartement Prix m2 moyen 6 808 € de 5 896 € à 8 093 € Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 7 484 € de 5 255 € à 9 423 € Indice de confiance 48 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 23,4 € de 18,1 € à 32,8 € Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 25,3 € de 16,2 € à 38,5 € Indice de confiance Le 48 rue Jules Ferry est situé dans le quartier Grand Quartier 01 et rattaché à une parcelle d'une surface au sol de 153 mètres carrés. Section cadastrale N° de parcelle Superficie 000AY01 0197 153 m² À proximité Av. de la République, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Charles Bassée, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Dalayrac, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue de la Maison Rouge, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue des Mocards, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue du Ruisseau, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Eugène Martin, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Gambetta, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Jean-Jacques Rousseau, 94120 Fontenay-sous-Bois Rue Mirabeau, 94120 Fontenay-sous-Bois Consulter le prix de vente, les photos et les caractéristiques des biens vendus à proximité du 48 rue Jules Ferry, 94120 Fontenay-sous-Bois depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En août 2022 dans le Val-de-Marne, le nombre d'acheteurs est supérieur de 16% au nombre de biens à vendre. Le marché est dynamique. Conséquences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension Immobilière ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens à vendre. L’influence de l’ITI sur les prix peut être modérée ou accentuée par l’évolution des taux d’emprunt immobilier. Quand les taux sont très bas, les prix peuvent monter malgré un ITI faible. Quand les taux sont très élevés, les prix peuvent baisser malgré un ITI élevé. 32m2 Pouvoir d’achat immobilier d’un ménage moyen résident Cette carte ne peut pas s’afficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, n’hésitez pas à télécharger un navigateur plus récent. Chrome et Firefox vous garantiront une expérience optimale sur notre site.
Ruedu Port (Nogent-sur-Marne) Sous-Préfecture - Jules Ferry (Nogent-sur-Marne) Rue de Beauté (Nogent-sur-Marne) Place du Général Leclerc (Nogent-sur-Marne) 19:29. Haussmann Saint-Lazare (Paris) 18:52. Nogent-sur-Marne (Nogent-sur-Marne) 51min . 5 arrêts . RER COTE . Fontenay-sous-Bois (Fontenay-sous-Bois) Vincennes (Vincennes) Nation (Paris) Gare de Jardin Jean-Corot Jean-Jaurès Jean-Macé Jean-Moulin Jean-Zay Jean-Jacques Rousseau Jean-Pierre-Martinié Jean-Pierre-Timbaud Joinville Jules-Ferry Jules-Lepetit Jules-Massenet Julius et Ethel-Rosenberg Jardin Le Jardin est le nom d'un lieu-dit. Plusieurs sentiers le traversant héritent de son nom. La trace de deux d'entre-eux est présente dans la délibération du Conseil municipal en date du 28 décembre 1931, où sont mentionnés les changements de noms. Le Sentier du Jardin n°2 est devenu la rue d'Alembert Le Sentier du Jardin n°3 est devenu la rue Soufflot Ces sentiers ont disparu lors de l'aménagement de la Zone à urbaniser en priorité ZUP. Jean-Corot La rue Jean-Corot L'ancien sentier de la Noue est nommé par délibération du 28 décembre 1931. Elle bordait le nouveau cimetière de Vincennes entre la rue La Fontaine et l'avenue Faidherbe. La rue a disparu lors de l'aménagement de la zone à urbaniser en priorité ZUP pour l'implantation du stade Pierre-de-Coubertin. Détail du plan d'assemblage du cadastre Détail du plan d'assemblage du cadastre de 1947. Cote 3F 1 Jean-Jaurès La rue Jean-Jaurès Ancien sentier du Rû Coin baptisé rue Jean-Jaurès en 1924 ou 1925. Sa viabilité intervient en 1931, en même temps que les travaux de soutènement des talus. Jean Jaurès 1859-1914 Homme politique français. Issu d'une famille de la bourgeoisie, il étudie à l’École normale supérieure et obtient une agrégation de philosophie. Il commence une carrière politique comme républicain. En 1885, devenu le plus jeune député de France, il prend le parti des ouvriers et propose un projet de retraites ouvrières en guise de premier pas vers le socialisme. Il prend la défense du capitaine Dreyfus, puis fonde et dirige le quotidien L'Humanité en 1904. En 1905, il est un des rédacteurs de la loi de séparation des Églises et de l'État. La même année, il participe à la création de la Section française de l'Internationale ouvrière SFIO, dont il est l'un des acteurs principaux. Ses positions réformistes lui valent toutefois l'opposition d'une partie de la gauche révolutionnaire. Il consacre les dernières années de sa vie à tenter d'empêcher le déclenchement de la Première Guerre mondiale. Ces positions pacifistes lui valent d'être assassiné par le nationaliste Raoul Villain à la veille du conflit. En 1924, sa dépouille est transférée au Panthéon. Entête de l' entreprise Ch. Girardi Entête de l' entreprise de ressorts en tous genres Ch. Girardi 39 rue Jean-Jaurès, 1952 Jean-Macé Plaque de rue de la rue Jean Macé Plaque de rue de la rue Jean Macé , 1er mars 1989. La rue Jean-Macé La rue est située entre la rue Jean-Pierre Timbaud et la place d'Etterbeck. Elle a été nommée par délibération du 13 février 1970. La crèche départementale des Larris, inaugurée le 14 octobre 1979 et le centre de Protection maternelle et infantile PMI y ont leurs locaux au numéro 17. Jean Macé 1815-1894 Jean François Macé est un pédagogue, enseignant, journaliste et homme politique français. Issu d'un milieu ouvrier, franc-maçon, Il œuvre pour l’instruction des masses en fondant le Magasin d'éducation et de récréation en 1864 avec l'éditeur Pierre-Jules Hetzel, puis en créant la Ligue de l'enseignement en 1866, qui se bat pour l’instauration d’une école gratuite, obligatoire et laïque. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur le 4 février 1880. Jean-Moulin Avenue Jean-Moulin Photographie de l' avenue Jean-Moulin, 1989 L' avenue Jean-Moulin Voie ouverte en 1970. Jean Moulin 1899-1943 Jean Moulin est un haut fonctionnaire et résistant français. Préfet de l'Aveyron puis d'Eure-et-Loir, refusant l'occupation de la France par l'Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, il rejoint en septembre 1941 la France Libre à Londres en passant par l’Espagne et le Portugal. Il est reçu par Charles de Gaulle, à qui il fait un compte-rendu de l’état de la résistance en France et de ses besoins, notamment financiers et en armement. Renvoyé à Lyon par de Gaulle, il crée et dirige le Conseil national de la Résistance. Il est arrêté dans la banlieue de Lyon, le 21 juin 1943 et conduit au siège de la Gestapo à Lyon, où il est torturé. Il meurt dans le train qui le transporte en Allemagne peu avant le passage de la frontière, le 8 juillet 1943. Son décès est enregistré en gare de Metz. Considéré comme l'un des principaux héros de la Résistance, il est fait compagnon de la Libération en 1942, nommé général de brigade à titre posthume lors de la Libération, puis général de division. Un cénotaphe lui est dédié au Panthéon ; son corps n'ayant jamais été identifié avec certitude, l'urne qui s'y trouve ne contient que les cendres présumées » de Jean Moulin. Jean-Zay Rue Jean-Zay Voie ouverte en 1974 dans laquelle se trouvent le groupe scolaire Jean-Zay, inauguré le 18 février 1979, la mini-crèche, au n° 14, ouverte le 19 décembre 1981. De part et d’autre de la rue, les employés municipaux ont aménagé un terrain de boules et un terrain de football en 1986. Jean Zay 1904-1944 Jean Zay est un homme politique français. Il est sous-secrétaire d’État à la présidence du Conseil, ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-Arts, député du Loiret et conseiller général. Pendant ses quarante-quatre mois au gouvernement du Front populaire, Jean Zay institue les trois degrés d’enseignement, l’unification des programmes, la prolongation de l’obligation scolaire à quatorze ans, les classes d’orientation, les activités dirigées, les enseignements interdisciplinaires, la reconnaissance de l’apprentissage, le sport à l’école, les œuvres universitaires, le CNRS, le Musée national des arts et traditions populaires, le Musée d'Art moderne, la Réunion des théâtres lyriques nationaux, le festival de Cannes. Au début de la Seconde Guerre mondiale, Jean Zay démissionne le 2 septembre 1939 pour rejoindre l'armée française. En juin 1940, avec l'autorisation de ses supérieurs, il rejoint Bordeaux pour participer, le 19 juin 1940, à la dernière session du Parlement qui s'y est replié avec le gouvernement et qui débat de la question d'un abandon de la métropole aux troupes allemandes et d'un transfert du gouvernement français en Afrique du Nord. Le 21 juin 1940, Camille Chautemps, Jean Zay et Pierre Mendès France, ainsi que vingt-cinq autres parlementaires embarquent au Verdon à bord du Massilia. Arrivés à Casablanca, au Maroc, le 24 juin 1940; Jean Zay est arrêté avec quatre de ses compagnons le 15 août 1940, pour désertion devant l'ennemi. Renvoyé en métropole, Jean Zay est interné, le 20 août 1940, à la prison militaire de Clermont-Ferrand. Pendant des mois, Jean Zay devient la cible notoire de la campagne antisémite » et une violente campagne de presse orchestrée par Philippe Henriot, ministre de l'Information du gouvernement de Vichy, réclame la condamnation à mort du juif, Jean Zay » comme juif, franc-maçon, anti-munichois, anti-hitlérien et ministre du Front populaire. Le 4 octobre 1940, le tribunal militaire permanent siégeant à Clermont-Ferrand, le condamne en tant qu'officier pour désertion en présence de l'ennemi à la déportation à vie et à la dégradation militaire. Durant sa captivité, Jean Zay continue à travailler, préparant les réformes qu'il pense pouvoir mettre en œuvre après la Libération. Le 20 juin 1944, trois miliciens viennent le chercher à la prison de Riom. Les trois miliciens lui laissent entendre qu'ils sont des résistants déguisés qui ont pour mission de lui faire rejoindre le maquis, et l'assassinent dans un bois, près d'une carrière, à Molles, dans l'Allier. Le 5 juillet 1945, la cour d'appel de Riom réexamine les faits reprochés au sous-lieutenant Jean Zay et annule le jugement du 4 octobre 1940 et Jean Zay est pleinement réhabilité à titre posthume. Les cendres de Jean Zay sont transférées au Panthéon le 27 mai 2015. Jean-Jacques Rousseau Rue Jean-Jacques-Rousseau Ancienne rue du Bordiot, en 1903 elle prend son nom actuel. La 1ère partie, entre les rues Dalayrac et Pasteur, fut viabilisée en 1901. La 2e partie, entre les rues Pasteur et Yvonne est restée longtemps à l’état de lacune. Ce n’est qu’en 1923, à la suite d’un accord entre la commune et Madame Bouchot, propriétaire des terrains sur lesquels elle devait être établie que ce tronçon fut ouvert et mis en viabilité. La 3e partie, entre les rues Yvonne et Castel Marcel et Jacques Gaucher avait été ouverte et viabilisée par Madame Bouchot elle-même. Le sol de la voie entre les rues Thérèse et Castel appartenait à la Société des Etablissements Gaveau. Le conseil municipal demandait, en 1924, la déclaration d’utilité publique en vue de l’expropriation des terrains pour l’ouverture du dernier tronçon. En compensation, Monsieur Gaveau pouvait maintenir la voie ferrée permettant une communication entre son usine et le terrain sur lequel il se proposait de construire. Jean-Jacques Rousseau 1712-1778 Jean-Jacques Rousseau est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. Il est l'un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières, bien que son œuvre philosophique et son tempérament l'ont souvent opposé au rationalisme des Lumières et à quelques-uns de ses représentants, dont Voltaire. Ses écrits ont influencé l'esprit révolutionnaire français. Il est célèbre pour ses travaux sur l'homme, la société et sur l'éducation "Émile, ou De l'éducation", 1762, où l'on voit que l'homme naît naturellement bon mais qu'ordinairement la société le pervertit. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective des philosophes britanniques du XVIIe siècle et XVIIIe siècle "Du Contrat social", 1762, et son fameux "Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes" 1755. Outre son œuvre philosophique, Rousseau a écrit un roman épistolaire, "Julie ou la Nouvelle Héloïse" 1761 et des livres autobiographiques "Les Confessions" rédigées entre 1765 et 1770, publiées à titre posthume en 1782 et 1789 et "Les Rêveries du promeneur solitaire" écrites en 1776-1778, publiées en 1782 Jean-Jacques Rousseau meurt d'une crise d'apoplexie. En octobre 1793, au cours d'une cérémonie grandiose, ses cendres sont transférées au Panthéon. Rue Jean-Jacques-Rousseau Carte postale rue Jean-Jacques-Rousseau, 1934 Rue Jean-Jacques Rousseau Carte postale rue Jean-Jacques Rousseau Fonds D. Codevelle Jean-Pierre-Martinié Rue Jean-Pierre-Martinié Photographie rue Jean-Pierre-Martinié le 1er mars 1989. La rue Jean-Pierre-Martinié Rue ouverte en 1970 par délibération du Conseil municipal du 13 février. Son tracé va de la rue La Fontaine à la rue Henri-Wallon. Elle est longue de 100 mètres pour une emprise de 7 mètres. Jean-Pierre Martinié 1923-1944 Dessinateur industriel. Pendant la seconde guerre mondiale, il a été "déporté du travail" en Allemagne. Il s'évade et rejoint un groupe de Francs-tireurs et partisans FTP en Corrèze avant de revenir à Fontenay où il continue à participer activement à la Résistance. C'est au cours d'une mission, le 19 août 1944, à la veille de la Libération, qu'il est arrêté et fusillé par l'ennemi, au bois de Vincennes. Retrouvez Jean-Pierre Martinié dans le Mémorial 1939-1945 Jean-Pierre-Timbaud Rue Jean-Pierre-Timbaud, 1989 Photographie rue Jean-Pierre-Timbaud, 1989 Photographie de la rue Jean-Pierre Timbaud, sans date sur la gauche, on voit le foyer Aimée-Matteraz La rue Jean-Pierre-Timbaud Cette rue est ouverte en 1970. Au numéro 5, se trouve la Maison communautaire du culte israélite, inaugurée le 20 décembre 1981. Au numéro 15 est installé et inauguré le 5 février 1977, le foyer restaurant pour les personnes âgées "Aimée-Matteraz". Il a fait l'objet d'important travaux en 2018 et 2019 pour une réouverture en juin 2019. Jean-Pierre Timbaud 1904-1941 Fondeur, mouleur d'art et syndicaliste français appartenant à la Confédération générale du travail CGT. Comme de nombreux communistes et syndicalistes parisiens, il est arrêté par la police de Pétain le 18 octobre 1940. Il est emprisonné au camp d'internement administratif d'Aincourt, à la centrale de Fontevraud puis à celle de Clairvaux et se trouvera en détention au camp de Choisel à Châteaubriant, le 14 mai 1941. Le 20 octobre 1941, le commandant des troupes d'occupation de Loire-Inférieure, est abattu à Nantes par un commando de l'Organisation spéciale branche armée du PCF. En représailles, les Allemands décident de fusiller quarante-huit otages vingt-sept prisonniers communistes du camp de Châteaubriant et vingt-et-un autres prisonniers pour faits de Résistance incarcérés à Nantes et à Paris. L'après-midi du 22 octobre, les otages sont fusillés. Parmi les quarante-huit otages, se trouvaient aussi Guy Môquet Joinville Rue de Joinville, 1978 Photographie, Rue de Joinville, 1978 Rue de Joinville Carte postale Rue de Joinville, sans date Fonds D. Codevelle Carte de visite de l 'entreprise de Transports automobiles Georges Soriano Carte de visite de l 'entreprise de Transports automobiles et de camionage Georges Soriano, 34 rue de Joinville sans date Enveloppe entête de l'entreprise A. Lorioz Enveloppe entête de l'entreprise A. Lorioz, approvisionnement de primeurs en gros, 22 rue de Joinville sans date Entête de la pâtisserie "Les Lutins" Entête de la pâtisserie "Les Lutins" 50 rue de Joinville, 1956 Rue de Joinville Née de la jonction de la rue des Angles et du chemin des Angles, suite à l'acquisition de terrains. Suite à des travaux d'alignement en 1888, elle est nommée rue de Joinville. Deux virages à angle droit, entre la rue de la Mairie aujourd'hui, rue de l'ancienne Mairie et la rue Désiré-Richebois sont dangereux et malaisés pour la circulation des autobus de la ligne 122. La décision de redresser le tracé est prise par délibération du 11 mars 1936, malgré l'obligation, pour ce faire, de démolir le pavillon du concierge de l'école de Joinville aujourd'hui groupe scolaire Victor-Duruy. Jules-Ferry Rue Jules-Ferry, 1989 Photographie Rue Jules-Ferry, 1989 Rue Jules-Ferry, 1988 Photographie Rue Jules-Ferry, 1989 Entête entreprise E. Grange, 1953 Entête entreprise générale maçonnerie-béton armé E. Grange, 65 rue Jules-Ferry, 1953 Entête de la radio "No macadam stars" Entête de la radio "No macadam stars" 7 rue Jules-Ferry, sans date Carte de visite artisan Degris & Ottaviano Carte de visite artisan peinture artisan Degris & Ottaviano 79 rue Jules-Ferry, sans date La rue Jules-Ferry Dès 1904, il est question d’ouvrir une voie reliant la rue Dalayrac au Plateau des Carreaux. Partant de la rue Dalayrac, dans l’axe de la rue Jean-Jacques-Rousseau, elle doit déboucher avenue de la République, près de la rue du Châtelet Charles-Bassée. Sur le tracé prévu existait déjà une rue nommée du Ruisseau-des-Rosettes, entre les rues Roublot et Gambetta. En 1908, la rue est ouverte jusqu’à la rue Gambetta sous le nom de Jean-Jacques-Rousseau prolongée. En 1911, un nouveau prolongement est effectué jusqu’à l’avenue de la République et au-delà, par la rue Victor-Lespagne. En 1912 on procède à son alignement pour dégager les abords du groupe scolaire de l’Ouest. Finalement le groupe scolaire et la nouvelle rue devaient recevoir en même temps le nom de Jules-Ferry. Mais la rue sera encore quelque temps appelée rue du Ruisseau… La viabilité sera terminée en 1925. Jules Ferry 1822-1893 Homme d'État français. Opposant à l'Empire, il est après la chute de celui-ci, en 1870, membre du gouvernement provisoire et, pour quelques mois, maire de Paris. Plusieurs fois ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts entre 1879 et 1883, il est l'auteur des lois restaurant l'instruction obligatoire et gratuite. Ainsi vu comme le promoteur de l'école publique laïque, gratuite et obligatoire », il a été considéré, plusieurs décennies après sa mort, comme un des pères fondateurs de l'identité républicaine. Il est président du Conseil des ministres de 1880 à 1881 et de 1883 à 1885. Montrant un fort engagement pour l'expansion coloniale française, en particulier dans la péninsule indochinoise, il doit quitter la tête du gouvernement en raison de l'affaire du Tonkin. Mort trois semaines après avoir été élu président du Sénat, il est inhumé à Saint-Dié-des-Vosges. Jules-Lepetit La rue Jules-Lepetit A l’origine 2e sentier de la Maison-Rouge qui devint plus tard la rue des Vignes. Empierrée en 1902, puis viabilisée en 1934, la rue est baptisée du nom de Jules Lepetit en 1945. Jules Lepetit Jules Lepetit Extrait des Chroniques fontenaysiennes de Fernand Nonza Chronique de 1947 Jules Lepetit 1893-1940 Ouvrier bottier, il demeurait à Fontenay depuis 1936. Membre du Parti communiste français, il était devenu une figure très populaire dans son quartier, ainsi qu’au marché Roublot où il vendait l’Humanité chaque dimanche. Arrêté en 1940, sur dénonciation, le Tribunal Militaire le condamna à un an de prison à la prison de la Santé. En juin 1940, les prisonniers de la Santé furent évacués vers Orléans. Jules Lepetit fut abattu sur la route, près de la commune de Cepoy dans le Loiret. Malgré les recherches, on ne retrouvera jamais son corps. Retrouvez Jules Lepetit dans le Mémorial 1939-1945 Jules-Massenet La rue Jules-Massenet A la demande des riverains, le conseil municipal décidait d’ouvrir en 1902, une voie entre la route de Montreuil avenue de Stalingrad et le sentier du Peuple rue Gounod. Elle reçoit le nom de rue de l’Union. En 1927, le conseil municipal lui donne le nom de Jules Massenet, au moment même où il rendait hommage à Charles Gounod… Jules Massenet 1842-1912 Compositeur français. Douzième et dernier enfant d’une famille aisée, le jeune Jules commence le piano avec sa mère puis il est reçu à onze ans au conservatoire de Paris, où il obtient le premier prix de piano. Jules Massenet effectue un parcours brillant, qui est couronné par l’obtention du prix de Rome en 1863. Massenet séjourne alors deux ans à la Villa Médicis, où il commence l’écriture d’un opéra d’après Victor Hugo, Esmeralda, qui restera inachevé. Il a modifié la physionomie de l’opéra-comique français en ne sacrifiant pas tout à l’art vocal, mais en réservant sa place à l’orchestration. Julius et Ethel-Rosenberg La rue Julius et Ethel-Rosenberg La voie est ouverte en 1970 suite à la délibération du 13 février 1970. Julius Rosenberg 1916-1953 et Ethel Rosenberg 1918-1953 Ethel Rosenberg et son époux Julius Rosenberg sont un couple de new-yorkais communistes arrêtés pour espionnage au profit de l’URSS. Julius est arrêté le 17 juillet 1950 et Ethel le 11 août. Ils sont jugés coupables le 5 avril 1951 et exécutés sur la chaise électrique le 19 juin 1953 dans la prison de Sing Sing. En 1945, les États-Unis ont l'exclusivité de la bombe atomique mais l’URSS peut se doter dès 1949 de cette technologie, en partie grâce à l'espionnage. Le sénateur Joseph McCarthy lance ce qui fut appelé le maccarthysme, une chasse aux sorcières » qui dura de 1950 à 1953 et qui visait les sympathisants, militants ou agents communistes. Les époux Rosenberg sont d’ailleurs les seules personnes condamnées à mort puis exécutées pour espionnage dans le monde occidental après la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le contexte d'affrontement des deux blocs. lKEk.